Ateliers Urbains #22 – Escapades chez les escapés – Cinema Galeries

Ateliers Urbains #22 – Escapades chez les escapés

Réalisé parCollectif de réalisateur.ices

Ateliers Urbains #22 – Escapades chez les escapés

Réalisé parCollectif de réalisateur.ices
  • LANGUE(S) ORIGINALE(S) FR
  • PAYS Belgique
  • Durée 72

Introduction

Première publique du dernier Ateliers Urbains en présence de l’équipe et de Christine Mahy et Olivier Van Goethem du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté (RWLP)

Réservation recommandée : reservations@cvb.be

Synopsis

Quelques «immenses» (acronyme d’Individu dans une Merde Matérielle Énorme mais Non Sans Exigences) visitent les beaux quartiers de Bruxelles. Concernés au premier chef par l’implacable crise du logement, ils offrent leur regard. Leur vécu perce la fragilité des couches sociales, transcende notre peur de dégringoler. Comme dans un safari pistant l’insaisissable « riche » planqué derrière de hautes haies, ces sans-chez-soi débusquent ce qu’en fait tous et toutes savent : la ville est pauvre mais bordée d’îlots de privilégié·es à l’orée de la Forêt de Soignes. Héritage historique certes, égoïsme urbanistique surtout. Dans un récit poétique et poignant, ces immenses interrogent les cloisons sociales entre nos territoires respectifs.

Introduction

Première publique du dernier Ateliers Urbains en présence de l’équipe et de Christine Mahy et Olivier Van Goethem du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté (RWLP)

Réservation recommandée : reservations@cvb.be

Synopsis

Quelques «immenses» (acronyme d’Individu dans une Merde Matérielle Énorme mais Non Sans Exigences) visitent les beaux quartiers de Bruxelles. Concernés au premier chef par l’implacable crise du logement, ils offrent leur regard. Leur vécu perce la fragilité des couches sociales, transcende notre peur de dégringoler. Comme dans un safari pistant l’insaisissable « riche » planqué derrière de hautes haies, ces sans-chez-soi débusquent ce qu’en fait tous et toutes savent : la ville est pauvre mais bordée d’îlots de privilégié·es à l’orée de la Forêt de Soignes. Héritage historique certes, égoïsme urbanistique surtout. Dans un récit poétique et poignant, ces immenses interrogent les cloisons sociales entre nos territoires respectifs.