Batang West Side – Cinema Galeries

Batang West Side

Réalisé parLav Diaz
  • SOUS-TITRES EN
  • 2001
  • Durée 315
  • Prix 9.00 €, 7.00 €, 6.50 €, 6.00 €
  • Ticket modérateur Article 27, Arsène 50
  • Abonnement Carte 5 places, UGC Unlimited

Introduction

« Si Batang West Side possède une place éclairante dans l’œuvre de Lav Diaz, en plus d’être son seul film tourné aux Etats-Unis, c’est parce qu’il relève, avec toute la finesse analytique requise, l’importance de raisonner la réalité historique et politique d’un pays à partir des codes ordinaires du film noir. » – Carlos Solano

Synopsis

Adolescent d’origine philippine, Hanzel est retrouvé sur West Side Avenue, Jersey City (États-Unis), une balle dans la tête. Retraçant les événements au fil d’une série d’interrogatoires et de témoignages des proches de la victime, l’enquête lève le voile sur la diaspora philippine, tandis que le détective en charge de l’affaire est rattrapé par ses propres démons. Batang West Side a la beauté noire et vénéneuse des polars américains.

Introduction

« Si Batang West Side possède une place éclairante dans l’œuvre de Lav Diaz, en plus d’être son seul film tourné aux Etats-Unis, c’est parce qu’il relève, avec toute la finesse analytique requise, l’importance de raisonner la réalité historique et politique d’un pays à partir des codes ordinaires du film noir. » – Carlos Solano

Synopsis

Adolescent d’origine philippine, Hanzel est retrouvé sur West Side Avenue, Jersey City (États-Unis), une balle dans la tête. Retraçant les événements au fil d’une série d’interrogatoires et de témoignages des proches de la victime, l’enquête lève le voile sur la diaspora philippine, tandis que le détective en charge de l’affaire est rattrapé par ses propres démons. Batang West Side a la beauté noire et vénéneuse des polars américains.

With its elaborately integrated flashback structure and ambiguously motivated protagonist, this classically paced, five-plus-hour procedural is at once more akin to the serialized television which was then taking hold in American home entertainment than the durational cinema which would soon make Diaz’s name, as well as a spiritual and political predecessor to the director’s recent, highly acclaimed Norte, the End of History.
J.CRONK. The L Magazine