Omar Amiralay: Sorrow, Time, Silence – Syrian Film Festival – Cinema Galeries

Omar Amiralay: Sorrow, Time, Silence – Syrian Film Festival

Réalisé parHala Al Abdullah
  • LANGUE(S) ORIGINALE(S) AR, FR
  • SOUS-TITRES FR
  • PAYS France, Syria
  • Durée 109

Introduction

La projection sera suivie d’un Q&A avec la réalisatrice Hala Alabdalla, et Rosa Issa et Nadia Aissaoui. Il y aura aussi une réception.

Synopsis

Dans une Syrie meurtrie par un régime tyrannique, Omar Amiralay a dédié sa vie à son pays et au cinéma. Quarante ans d’engagement politique et de réalisation de documentaires. En 2008, il interrompt ses projets pour se consacrer entièrement à veiller sa mère mourante. Elle décède en 2010, Omar nous quitte un an après. Cinq semaines avant la révolution syrienne.

Introduction

La projection sera suivie d’un Q&A avec la réalisatrice Hala Alabdalla, et Rosa Issa et Nadia Aissaoui. Il y aura aussi une réception.

Synopsis

Dans une Syrie meurtrie par un régime tyrannique, Omar Amiralay a dédié sa vie à son pays et au cinéma. Quarante ans d’engagement politique et de réalisation de documentaires. En 2008, il interrompt ses projets pour se consacrer entièrement à veiller sa mère mourante. Elle décède en 2010, Omar nous quitte un an après. Cinq semaines avant la révolution syrienne.

Ce n’est pas un portrait du réalisateur syrien Omar Amiralay.  

Ce n’est pas une coupe transversale de la société syrienne actuelle, ni une coupe longitudinale  du sort de générations à travers cinquante ans sous le joug d’un seul régime politique.  Ce n’est pas un dialogue intime et libre entre deux amis unis par le feu sacré du cinéma et une  passion pour la liberté.  

Ce n’est pas un témoignage sur l’amour d’un fils pour sa mère ou sa croyance indéfectible en la  justice. 

C’est un long métrage documentaire qui aspire à tout cela à la fois, afin de prendre la forme de  la tresse d’une jeune fille syrienne. 

Omar Amiralay était hanté par la cause syrienne, par la recherche de liberté et de justice. Il  était l’un des principaux opposants à la famille Al Assad et est décédé en 2011. Ce film montre  des moments privilégiés de discussions entre Hala Alabdalla et Omar avant sa mort, un  témoignage unique. 

Dans le même temps, il s’agit d’une réflexion plus large sur l’amour et la mort, la politique et le  cinéma dans le contexte de la révolution.  

C’est un film, une lettre, sur la douleur amère de l’absence.