Corniche Kennedy + La Night au Frioul – Cinema Galeries

Corniche Kennedy + La Night au Frioul

Réalisé parDominique Cabrera, avecAïssa Maïga, Lola Creton, Moussa Maaskri
  • LANGUE(S) ORIGINALE(S) FR
  • PAYS France
  • Durée 94

Synopsis

Dans le bleu de la Méditerranée, au pied des luxueuses villas, les minots de Marseille défient les lois de la gravité. Marco, Mehdi, Franck, Mélissa, Hamza, Mamaa, Julie : filles et garçons plongent, s'envolent, prennent des risques pour vivre plus fort. Suzanne les dévore des yeux depuis sa villa chic. Leurs corps libres, leurs excès. Elle veut en être. Elle va en être.

Synopsis

Dans le bleu de la Méditerranée, au pied des luxueuses villas, les minots de Marseille défient les lois de la gravité. Marco, Mehdi, Franck, Mélissa, Hamza, Mamaa, Julie : filles et garçons plongent, s'envolent, prennent des risques pour vivre plus fort. Suzanne les dévore des yeux depuis sa villa chic. Leurs corps libres, leurs excès. Elle veut en être. Elle va en être.

Le film sera précédé par le film La Night au Frioul, 20′, un film Film Flamme du Polygone étoilé


Un groupe d’amies décide de passer une journée sur l’île du Frioul, en face de Marseille. Elles plongent, elles discutent, courent, chantent, elles dansent. Elles s’endorment autour d’un feu… Une ombre, des bruits. Elles s’abritent dans un bateau, elles se racontent des histoires qui se répètent. Elles parlent, du bled, des adultes, des djinns… et y rencontrent une femme étrange…


Quelques mots à propos de la réalisation du court-métrage collectif par les Film Flamme:

« La Night au Frioul est un film que nous avons réalisé dans un parcours très singulier, les Ateliers Cinématographiques Film Flamme du Polygone Étoilé, un lieu de création cinématographique, à Marseille. La pratique des ateliers est un geste fondateur de ce lieu, une expérience de partage entre réalisateurs et habitants du quartier, où l’échange et la liberté s’inventent dans la création collective. Les films réalisés sur près de vingt ans, tournés en pellicule 16 mm et prise de son sur Nagra, forment l’œuvre collective intitulée La subtile mémoire des humains du rivage. »