Lettre à la prison
- LANGUE(S) ORIGINALE(S) FR
- SOUS-TITRES EN - FR
- PAYS France
- Durée 70
- Prix 9.00 €, 7.00 €, 6.50 €, 6.00 €
- Ticket modérateur Article 27, Arsène 50
- Abonnement Carte 5 places, UGC Unlimited, Cineville Pass
Synopsis
Un homme tunisien, Tahar, est mandaté par sa famille pour partir sur les traces de son frère emprisonné en France, accusé du meurtre d’une femme blanche. Il arpente les rues de Marseille, se perd dans celles de Paris, parle avec des inconnus, donne de l’argent à des mendiants, plonge les mains dans le ciment frais d’un chantier déserté. À travers les heures qu’il perd, qu’il tue, son corps fait peu à peu l’expérience de l’exil, de ses pertes, de ses renoncements mais aussi de ses surprises lumineuses.
Synopsis
Un homme tunisien, Tahar, est mandaté par sa famille pour partir sur les traces de son frère emprisonné en France, accusé du meurtre d’une femme blanche. Il arpente les rues de Marseille, se perd dans celles de Paris, parle avec des inconnus, donne de l’argent à des mendiants, plonge les mains dans le ciment frais d’un chantier déserté. À travers les heures qu’il perd, qu’il tue, son corps fait peu à peu l’expérience de l’exil, de ses pertes, de ses renoncements mais aussi de ses surprises lumineuses.
TW Ce film contient des scènes de violence envers les femmes et les animaux.
Réalisé en 1969, Lettre à la Prison est censuré par le CNC. C’est seulement en 2009 grace à Chloé Scialom, la fille du réalisateur, et le travail de Polygone étoilé, que le film est restauré et diffusé. Lettre à la Prison aborde la question de la place de l’immigré maghrébin en France dans les années 70, faisant de cette oeuvre une trace de l’histoire du racisme en France.
L’heure d’été vise à diffuser des œuvres récentes pour faire plonger nos spectateurs dans la cinématographie actuelle d’une ville à un public international, ce festival sera aussi l’occasion de mettre en lumière différentes phases de l'âge d'or des cinémas ancrés à Marseille dans le but de permettre aux spectateurs de découvrir ou de redécouvrir des films classiques et des films rarement présentés sur grand écran.
